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trajet - véhicule - équipement - formalités - budget - vie en Iran - liens - bibliographie
Le trajet prévu pour rallier l'Iran traverse la France, l'Italie,
la Grèce et la Turquie, pour un total de 6 000 km jusqu'à
Persépolis, près de Chiraz. La voie la plus simple jusqu'au
début des années 1990 pour la Turquie était le trajet
qui passait par Paris, Munich (Allemagne), Graz (Autriche), Maribor (Slovénie),
Zagreb (Croatie), Belgrade puis Nis (Serbie), Sofia (Bulgarie) et Edirne
(Turquie). C'était d'ailleurs la route la plus fréquentée
par les centaines de milliers de travailleurs turcs en Allemagne qui revenaient
l'été dans leur pays natal. Mais les guerres successives en
Yougoslavie, puis ex-Yougoslavie, ont rendu le passage très difficile:
routes et autoroutes détruites, racket des milices, sans parler des
formalités administratives rendues nécessaires par la création
de trois frontières supplémentaires ! Une variante est toujours
faisable en contournant l'ex-Yougoslavie par le Nord, via Vienne, Budapest,
Bucarest et Sofia. Mais là aussi les passages de frontières
sont difficiles, avec beaucoup d'attente, la sécurité pas toujours
assurée et les autorités (roumaines notamment) se servent allègrement
dans la poche des voyageurs en exigeant le paiement de visas de transit en
devises. En plus, les routes roumaines ne sont quasiment pas entretenues
et leurs nids de poule mettent en danger les suspensions et des carters de
moteur.
La route la plus simple passe donc par l'Union européenne. De Paris,
bifurcation direction Lyon par l'A6, autoroute du Soleil. Rien à signaler
à part les radars des pelotons de gendarmes d'autoroute (qui ne concernent
d'ailleurs pas les Renault 18 diesel). Il faudra lâcher quelque 35
€ au racket du péage, tout au long des quelque 700 km d'autoroute.
En Italie, c'est de l'autoroute pendant 400 km jusqu'à Venise. Les
autoroutes italiennes ne sont pas en très bon état, plus étroites
et sinueuses que les autoroutes françaises, et requièrent une
attention soutenue car les Italiens roulent vite. Pas seulement ceux qui
conduisent des voitures rouges. A signaler l'excellent site des autoroutes
italiennes, qui permet de prévoir son trajet et ses péages,
en pointant ses villes étapes sur une carte interactive : http://www.autostrade.it/ . Compter
25 € de péage.
L'avez-vous remarqué, la Grèce ne possède pas de
frontière terrestre en commun avec le reste de l'Union européenne.
Il existe une rotation par bateau entre Venise et Igoumenitsa, port grec
situé juste en dessous de l'Albanie. Les prix ne sont pas démentiels
en basse saison: Environ 400 € aller-retour pour une voiture et deux personnes
en cabine, à vérifier sur le site internet des car-ferries grecs:
http://www.ferries.gr/ . Il y a environ
26 heures de trajet, et les bateaux grecs, autrefois un peu vétustes,
ont fait des bonds de géants en terme de qualité du service.
Si nous embarquons à 19h00 le soir à Venise, nous arriverons
le lendemain à 22h00 à Igoumenitsa. Le trajet en Grèce
(environ 770 km) jusqu'à la frontière turque devrait s'effectuer
lui aussi sans souci majeur, l'adhésion du pays à la CEE en
1981 ayant permis de développer une infrastructure routière
digne de ce nom. L'autoroute Igoumenista-Thessalonique, qui reprend le tracé
de la Via Egnatia romaine, est toujours en projet, surtout dans sa partie
ouest, mais des sections à deux voies existent. Entre Igoumenitsa
et Kalambaka (nord), le paysage se révèle escarpé, et
la route très fréquentée par les camions et les Turcs
qui suivront le même trajet que nous. L'agglomération de Thessalonique
est parfois un peu difficile à traverser, mais la route qui longe
la mer Egée jusqu'à la Turquie est globalement bonne. Elle passe
par Kavala et Alexandroupoulis, qui pourrait faire une ville étape
très décente. Le passage de la frontière entre la Grèce
et la Turquie (Ferai-Ipsala) s'effectue sur un pont, gardé de chaque
côté par des soldats grecs et turcs. La fin du voyage dans l'Union
européenne signifie le début des formalités plus longues,
notamment de passage en douane, même si les douaniers et les policiers
turcs sont bien plus sympathiques que leurs homologues grecs.
La Turquie, c'est d'abord un pays très étendu: d'ouest en
est, 1.700 km de routes en perspective. La route entre Ipsala et Istanbul,
à deux voies pendant les deux tiers du trajet, ne pose pas de problème
majeur: elle longe la mer de Marmara en laissant au nord des massifs montagneux.
Le passage du Bosphore s'effectue à Istanbul, ville dans laquelle
circuler n'est pas difficile: c'est un cauchemar. Le trajet entre Istanbul
et l'est du pays pourra prendre diverses variantes. En effet, longer la
mer Noire représente un détour, et l'axe autoroutier Istanbul-Ankara
est très fréquenté. Reste que le passage en Iran ne
peut s'effectuer raisonnablement que par le poste-frontière de Bazargan,
non loin de la ville de Dogubayazit (voir carte), à proximité
du mont Ararat. Il existe un poste-frontière plus au sud, mais on
se retrouve alors en plein Kurdistan turc, que les guides touristiques déconseillent
encore.
A Dogubayazit, on n'est pas très loin non plus de l'Arménie
et de l'Azerbaïdjan (la riante Tchétchénie est à
500 km au nord), mais la frontière est calme entre ces deux pays
qui s'ignorent au point de ne pas avoir eu pendant longtemps de poste-frontière
commun.
Les routes turques ne sont pas les plus sûres du monde et demandent
aux conducteurs d'être attentifs: comme il est écrit dans
un guide touristique célèbre, les Turcs ne roulent ni à
gauche comme les Anglais, ni à droite comme les Français,
mais... au milieu. Ce qui est au moins exagéré: le pays s'est
modernisé à pas de géant. On trouve des stations-service
impeccables tous les 20 km dans l'ouest, les autorités ont lancé
un grand plan anti pollution (exemple: tous les taxis d'Istanbul sont au
GPL!). De plus, les Turcs se révèlent extrêmement sympathiques,
souriants et courtois. Pas de danger de se retrouver seul en panne au bord
de la route: quelqu'un s'arrête très vite pour vous aider.
Les prix sont doux. Un plein de gazole pour 25 €, un repas complet pour 2
€ (en dehors des zones touristiques), cela fait des années que l'on
a pas vu des prix pareils en Europe. De plus, le touriste qui débarque
en Turquie devient automatiquement millionaire. Résultat d'une inflation
galopante, un euro s'échange en effet contre 1,8 million de livres
turques!
Vient le morceau de choix: l'Iran, sur le plan des routes, ne semble pas
poser de problème particulier, tant que l'on reste sur les grands
axes en tout cas. Mais on a tendance à oublier que c'est comme la
Turquie, un très grand pays par la superficie: trois fois la France,
dont une bonne partie est désertique. Les guides Lonely Planet, dans leurs conseils
de voyage, préviennent que les paysages sont souvent monotones. Pourtant,
lorsque l'on voit les films d'Abbas Kiarostami, la beauté de l'Iran
saute aux yeux. Attendons pour voir! Le pays semble en tout cas se caractériser
par des contrôles routiers très fréquents et une sécurité
routière précaire. La circulation dans Téhéran
relève apparemment du gymkhana et de l'école de maîtrise
des nerfs. Le reste devrait être plus calme. A grand pays, grandes
distances: une fois à Bazargan, à la frontière, qu'il
est paraît-il difficile de franchir rapidement en raison des formalités
administratives et de vérification, il reste encore près de
1 000 km pour rejoindre Téhéran. Une fois la capitale atteinte,
nous pourrons rayonner dans les montagnes au nord de Téhéran,
et peut-être même jusqu'à la mer Caspienne, puis dans les
villes saintes du chiisme que sont Qôm, Ispahan, et éventuellement
pousser une pointe jusqu'à Persépolis et Chiraz, qui sont encore
à plus de 1 000 km de la capitale. Toutes ces villes sont détaillées
sur le site de l'office de tourisme iranien: http://www.itto.org, complet et bien fait.
A noter aussi le site de l'ambassade d'Iran au Canada, pléthorique
et agréable: http://www.salamiran.org.
Une fois arrivés à Persépolis, il nous faudra penser
à revenir et donc à parcourir dans l'autre sens les 6 000
km de l'aller...
Le véhicule: on ne change pas une équipe qui gagne!
Nous devrions partir avec ma Renault 18 GTD de 1983, qui comptait, en
janvier 2004, près de 406 000 km dans les roues. Evidemment, dit
comme ça, on a un peu peur, mais plusieurs faits plaident en sa faveur,
à commencer par son incroyable fiabilité.. Entre ses 270
000 et ses 315 000 km, ce véhicule a fait peuve de sa solidité
sur toutes les routes du Maroc, avec toutes les péripéties
imaginables. Par exemple, 40 km de pistes sableuses à fond les boulons,
à cinq dans la R18 par 35°C à l'ombre (et il n'y avait
pas d'ombre).
Mes amis se souviennent encore avec émotion des quatre heures nécessaires
pour faire 35 km sur une piste de montagne avec un col à 2.700 mètres,
puis la descente dans le lit de la rivière à peine sec, le
tout avec un ventilateur de radiateur en panne (en montagne, l'été,
un ventilateur, ça sert!). Je me rappelle aussi la pompe à
eau qui nous a lâchés entre Midelt et Azrou, alors qu'il restait
encore trois cols à 2 000 mètres à passer. Et la R18
repartit sans pompe à eau, simplement avec un plein de liquide de
refroidissement. Cette fiabilité, acquise au prix d'un entretien rigoureux
des organes mécaniques, s'est traduite en près de huit ans par
trois pannes seulement nécessitant l'intervention d'une dépanneuse:
un court-jus dans l'alternateur (à 335 000 km tout de même) qui
a vidé la batterie, la casse de la fourchette de renvoi de câble
d'embrayage à 378 000 km et une rupture du faisceau électrique
provoquant l'arrêt de la charge de la batterie à 385 000 km.
De toutes façons, la souscription d'un contrat d'assistance international
constitue une des conditions vitales pour un voyage de ce genre.
Enfin, la R18 s'est encore distinguée en nous
ramenant de Rabat (Maroc) à Brest (Finistère) en un jour et
demi via l'Espagne, soit 2.400 km effectués à 100 km/h de moyenne,
arrêts exclus, le tout avec plus de 500 kg de bagages dans le coffre
et sur le toit! Derniers exploits en date en guise de tour de chauffe : le
trajet Paris-Antalya (sud de la Turquie) via Venise, Igoumenitsa, les Dardanelles
et retour par Istanbul sans un seul pépin mécanique en 8.000
km. En août 2001, elle a encore roulé 5 000 km en moins de quinze
jours sur autoroute sans faiblesse (touchons du bois). Bref, depuis bientôt huit ans que je roule en 18, j'ai acquis au moins une certitude: c'est du béton. Même à son kilométrage élevé, elle ne consomme que 5,7 litres de gasoil au 100 sur nationale et moins de deux litres d'huile entre chaque vidange aux 5.000 km. Sur autoroute, elle est largement capable de 130 km/h (150 en pointe), et son couple élevé n'en fait pas une voiture désagréable en montagne (même si l'étagement des vitesses - la troisième est trop juste et la quatrième trop longue - pose quelques soucis). Et puis on peut se dire qu'une automobile qui a déjà parcouru 406 000 km peut bien en faire 4% de plus ! Pour un tel voyage, la 18 bénéficiera des aménagements effectués lors de son séjour marocain, à savoir une plaque de blindage installée sous le carter d'huile, un ventilateur de radiateur supplémentaire avec marche forcée commandée du tableau de bord, et surtout une surélévation de 2 cm des suspensions avant et arrière, obtenue par la pose de cales en aluminium sur les coupelles de suspensions. La pose d'un grillage pare-pierres sur la calandre et les phares est envisagée, ainsi que celle de phares longue portée, en raison du balisage nocturne défaillant des routes d'Asie mineure. Pour accroître la capacité de transport, l'achat d'un coffre de toit sera également étudié. Le coffre des berlines 18 n'est en effet pas immense (moins de 300 litres), même s'il est carré et facilement aménageable. Question pneumatiques, la monte d'origine des 18 diesel est parfaite pour les routes accidentées, avec des enveloppes taille haute de 165-80/R13 en Michelin MX4, gage d'une longévité et d'une solidité accrues. Seul problème, il devient difficile d'en trouver. |
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Istanbul, octobre 2000: on l'a fait! |
La totalité ou presque du trajet s'effectuera sur route bitumée, et nous ne serons jamais loin d'un garage. Il faudra tout de même prévoir:
- une roue de secours complète supplémentaire (165-80/R13)
- une pompe à pied
- une jauge de pression des pneumatiques
- deux bombes anticrevaison
- une trousse à outils avec tournevis, marteau, pince multiprise
et coupante, jeu complet de clés plates et à pipe de 6 à
20 mm
- un kit de réparation radiateur ("pâte à modeler")
- un jeu complet de courroies moteur
- du scotch à durits
- une clé en croix + un cric
- dix mètres de corde
- des pinces "crocodile"
- cinq mètres de fil de fer
- un bidon de gasoil de 20 litres
- un bidon d'eau potable de 20 litres
- dix litres d'huile moteur
- deux filtres à gasoil
- deux filtres à huile
- un filtre à air
(si vous avez des idées supplémentaires, des suggestions
sur cette partie mécanique, écrivez-moi ici ).
Pharmacie. Même remarque que pour la mécanique: les infrastructures
hospitalières de l'Iran, même si elles ne rejoignent pas celle
de la France, ne sont pas sinistrées comme celles de son voisin
irakien.
- pastilles de désinfection de l'eau
- médicaments anti-diarrhéiques
- aspirine
- pansements
- compresses
- sutures rapides
- traitement anti-paludéen
- pommade anti-brûlures type "Biafine"
- pommade cicatrisante
- Alcool médical (ou désinfectant)
- coton
Equipement de camping
- une tente igloo
- deux sacs de couchage
- deux "sacs à viande"
- deux matelas de mousse
- deux couvertures de survie
- un brûleur de camping gaz "bleuet"
- un jeu de gamelles
Formalités
C'est peut-être là que résident les plus grandes difficultés
qui nous attendent sur la route de Téhéran; même si le
tourisme a fait timidement son apparition en Iran depuis près de
dix ans, obtenir un visa en voyageur individuel relève encore de
l'école de patience et du jeu de piste. La première démarche
à entreprendre est celle de trouver un "sponsor" en Iran susceptible
de se porter garant de vous. Il se rendra ensuite au ministère iranien
des Affaires étrangères pour donner vos coordonnées complètes
(passeport, papiers automobiles, etc...). Un numéro d'ordre vous
sera alors attribué, et lorsque votre dossier arriva de Téhéran
à l'ambassade, vous pourrez retirer les formulaires de candidature
pour un visa. Autant dire qu'il ne vaut mieux pas s'y prendre à la
dernière minute... Le visa pour les ressortissants français
coûtait fin juillet 2000, 345 francs.
Les papiers requis pour entrer en Iran sont les suivants:
- passeport valide six mois après la date prévue de retour,
évidemment muni d'un visa
- permis de conduire international
- carnet de passage en douane
- carte grise
- carte verte (assurance, portant la mention "Ir" non barrée)
Budget
D'après le guide Lonely Planet, il est possible de très
bien vivre en Iran pour 15 € par jour et par personne tout compris (nourriture,
hôtel, déplacements, visites). Etant donné que le prix
du litre de gazole semble au niveau de celui de l'unité de Carambar
en France (0,06 €), les déplacements ne vont pas être hors de
prix. En France et en Italie, le prix moyen du gazole est de 0,85 €
le litre, tandis qu'en Grèce et en Turquie c'est bien moins cher.
Même différence pour la nourriture. Voici donc un budget prévisionnel
sur environ 40 jours, en francs:
Nature
Trajet |
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Total
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Paris - Venise
(1 jour) |
= 462 F |
|
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1 112
|
Venise - Igoumenitsa
(26h00) |
|
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|
1 400
|
Igoumenitsa - Bazargan
(3 jours) |
= 730 F |
|
|
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1 330
|
Iran (25 jours) |
= 162,50 F (!) |
|
|
|
5 162,50
|
Bazargan - Igoumenitsa
(3 jours) |
= 730 F |
|
|
|
1 330
|
Igoumenitsa - Venise
(26h00) |
|
|
|
|
1 400
|
Venise- Paris (1 jour) |
= 462 F |
|
|
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1 112
|
Total |
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12846,50 F
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Liens
Voici quelques liens utiles sur internet pour préparer ce voyage,
triés par type.
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Récits de voyage | ||
|
Site de journaux de voyage, où l'Iran est mentionnée une trentaine de fois. Une référence, à lire absolument avant d'entamer un voyage de ce genre.. | http://www.uniterre.com |
|
Le récit de voyage d'un couple de Français parti avec deux enfants pour visiter l'Iran en camping-car. Récit attachant et bourré d'informations. | http://perso.wanadoo.fr/gaetan.magre/iran.htm |
|
Massy-Pondichéry en camping-car avec deux enfants, par la Turquie, l'Iran, le Pakistan... Superbe et vraiment intéressant. | http://www.petittour.com |
|
Un couple a décidé de rejoindre l'Orient par la route, et a notamment transité par l'Iran. Très beau site sur le plan graphique, et bien écrit, ce qui ne gâche rien. | http://www.citeweb.net/eastofeden/ |
|
Passionnant récit d'un voyage en Lada Niva entre la France et la Mongolie (ou presque). Partie sur l'Iran très instructive. | http://l.maille.free.fr/ |
Conseils officiels aux voyageurs | ||
|
Le site du ministère français des Affaires étrangères, donne notamment des conseils aux voyageurs en Iran et en Turquie. | http://www.diplomatie.gouv.fr |
Cartes | ||
|
Anciennement iti, ce site permet de calculer ses itinéraires en Europe, mais ne couvre ni la Grèce ni la Turquie. | http://www.mappy.fr |
|
Même type de site que Mappy, mais beaucoup plus complet. Un seul regret: les villes étapes ne sont pas clairement indiquées. | http://www.mapblast.com |
|
Superbe interface et grande facilité d'usage pour ce site gratuit des éditions Michelin. | http://www.viamichelin.fr |
Tout sur l'Iran | ||
|
Le site de l'ambassade d'Iran à Ottawa (Canada), avec de très nombreuses sources documentaires et une interface agréable. Tout sur les formalités de visa, de voitures, etc. | http://www.salamiran.org |
|
Site de l'office de tourisme iranien. Nombreuses rubriques concernant le voyage en Iran, manquant parfois de profondeur. | http://www.itto.org |
Divers | ||
|
Le site en anglais de l'Organisation mondiale de la santé, avec le rapport sur la santé mondiale qui a consacré la France pour l'année 2000. L'Iran se classe 93ème, en milieu de tableau. | http://www.who.int |
Bibliographie
Les guides touristiques sur l'Iran sont rares. Pas de "Routard" ni de
"Petit futé" à l'horizon. Quant aux cartes, les éditions
Michelin s'arrêtent en Grèce, et il faut donc piocher ailleurs.
Guides de voyage
Turquie. Guides du Routard, Paris 2000-2001.
Iran. Lonely Planet, Sydney 1998.
Iran. découverte, guides Olizane, Genève 2000.
Cartes routières
France. Michelin, Paris 2000.
Italie. Michelin, Paris, 2000
Grèce. Michelin, Paris 2000.
Turquie. Freytag & Berndt, Vienne 1996.
Iran. International Travel Maps, Vancouver 1999.
Périodiques
"Iran, l'héritage perse". Géo, Paris, janvier 2000.